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Colonne de Feu

LA COLONNE DE FEU PHOTOGRAPHIÉE



À Houston (Texas) en janvier 1950, une surprenante photographie a été prise par les studios Douglas. Cette photographie montre un halo de lumière au-dessus de la tête de frère Branham. Le négatif a été soumis à M. George J. Lacy, Expert en documents contestés, pour établir si le rai de lumière avait pu être provoqué par un défaut d'exposition, de développement ou si le négatif avait été retouché. L'examen a entièrement confirmé que la zone exceptionnellement claire a été causée par l'effet d'une lumière sur le négatif. Il a été rapporté que M. Lacy aurait dit : «  M. Branham, vous mourrez un jour, comme tous les mortels, mais tant qu'il existera une civilisation chrétienne, votre photo survivra. »

Cela se passe en janvier 1950. Le lieu, c'est Houston (Texas), aux USA. Encore une fois, Dieu va confirmer la vie et le ministère de son serviteur et prophète. Frère Branham vient à peine de retourner sur le terrain d'évangélisation, après avoir interrompu le ministère surnaturel qu'il avait exercé sans répit pendant presque trois ans et qui l'avait épuisé physiquement et émotionnellement. TOUTEFOIS, s'il y a des questions quant au fait que Dieu est encore avec son serviteur, la série de réunions de Houston y apportera la réponse.

La série de réunions commence au ralenti, mais avant la fin de la série, des événements remarquables vont se produire. Il devient évident que le Seigneur a fait retourner son serviteur sur le terrain avec encore plus d'onction. Cette fois, il venait non seulement avec le « signe » dans sa main et l'autorité sur les démons, mais MAINTENANT, les « secrets » même des cœurs sont révélés. Une nouvelle manifestation se fait jour. Frère Branham est entré dans ce qu'il reconnaîtra plus tard comme la deuxième « attirance » (étape) d'un ministère dont le sommet allait être une troisième « attirance ».

La manifestation de cette « deuxième attirance » comportait la révélation des « sentiments et des pensées » (Hébreux 4.12) des cœurs des gens, révélation qui n'a PAS UNE SEULE FOIS n'a manqué d'être exacte. Les gens de Houston ont eu le privilège de voir la manifestation du « signe du Messie ». Dieu accomplissait à travers ce ministère EXACTEMENT les même œuvres que dans le ministère du Seigneur Jésus-Christ 2000 ans plus tôt (Jean 4.25-26).

Dans les lignes de prière, frère Branham, sous l'onction, dit aux gens des choses de leur vie passée, ce qui encourage grandement leur foi et leur permet souvent d’être guéris sans même un seul mot de prière. À l’inverse, ceux qui se sont glissés dans la ligne de prière sans vouloir être en règle avec Dieu, ou qui vivent une vie de rétrograde indifférent, qui ont commis des péchés qui n’ont pas été sincèrement confessés à Dieu, ceux-là sont repris par l’Esprit de Dieu, en plein sur l’estrade. Les péchés sont dévoilés, les secrets des cœurs sont révélés, et presque chaque fois, les personnes ainsi reprises font immédiatement une confession, le cœur brisé et dans les larmes. À ce moment-là, la personne est habituellement guérie sur-le-champ.

 

L’ÉTONNANTE PHOTOGRAPHIE

Vers le milieu de la campagne de Houston se produit une chose remarquable qui sera une confirmation divine du ministère de frère Branham. Un homme d’église très hostile, opposé à la guérison divine, dénonce les propos du pasteur F. F. Bosworth (qui prêche à plusieurs des réunions de journée) et lance, dans les journaux, un défi public au pasteur Bosworth pour s’opposer à lui dans un débat sur « la Guérison divine par l’Expiation ». Avec l'accord de frère Branham, le pasteur Bosworth relève le défi, non sans que frère Branham l'ait mis en garde contre toute polémique sur la Parole. L’affaire fait les manchettes des journaux de Houston.

Le soir fixé, la réunion débute, et on voit bien que le vaste auditoire est presque entièrement du côté des évangélistes de passage. De nombreuses personnes, provenant de la dénomination même de l’homme d’église ayant lancé le défi, se lèvent pour attester qu’elles croient à la guérison divine et qu’elles ont bien été guéries. Ce sentiment s’accroît au fur et à mesure que la réunion se déroule.

Or, il se trouve que l’homme d’église qui s’oppose à la guérison divine a loué les services de deux photographes professionnels, MM. James Ayers et Ted Kipperman, qui doivent prendre une série de photographies de lui pendant qu’il parlera. Ceci fait, le photographe décide de prendre encore une photographie, cette fois-ci de frère Branham, qui dit quelques mots juste avant la fin de la réunion.

Ce soir-là, en se rendant à la chambre noire de son studio, M. Ayers, l’un des photographes, décide de développer les négatifs exposés. À son grand étonnement, tous les négatifs sont entière-ment blancs, à l’exception de celui qui représente le pasteur Branham. Son étonnement se mue en stupéfaction quand il se rend compte que le négatif porte, juste au-dessus de la tête du pasteur Branham, ce qui semble être un halo de lumière surnaturel. M. Ayers appelle ses collègues du studio à venir observer le négatif, mais après observation, ils restent tous perplexes : aucun d’eux ne peut expliquer la présence de ce halo.

Le lendemain matin, le photographe fait informer le pasteur Branham de l’étrange phénomène qui apparaît sur la photographie prise la veille au soir. Frère Branham explique alors au jeune homme qu’il n’est pas trop étonné de la chose. Il indique que juste avant que cette photographie soit prise, il avait entendu la Colonne de Feu descendre dans la salle avec le bruit d'un vent rugissant. Évidemment, ce n'était pas la première fois que des faits semblables se produisaient dans le ministère de notre frère.

À Camden (Arkansas), par exemple, un photographe l’a pris en photo, et, une fois la pellicule développée, on y voyait autour de frère Branham une étrange lumière qui, d’après les photographes, ne pouvait pas provenir de l’éclairage de la salle. (Cette photographie se trouve dans le présent livre.) De nombreuses autres choses semblables s’étaient produites dans son ministère. La photographie prise à Houston était sans aucun doute la plus extraordinaire et la plus spectaculaire de ces manifestations surnaturelles, à cause des circonstances uniques dans lesquelles elle fut prise.

 

RÉCIT DE LA RÉUNION DANS LES JOURNAUX DE HOUSTON


Le matin même où le photographe apporte la nouvelle de l’étrange phénomène qui apparaît sur la photo, les quotidiens de Houston présentent des articles détaillés en première page sur la réunion de la veille. (Évidemment, les journaux n’ont pas encore connaissance de l’étonnante photographie.) Il est intéressant de remarquer que M. Ayers, l’un des photographes engagés par l’homme d’église hostile, avait lui-même fait part de ses doutes quant au ministère de frère Branham, et ces doutes sont maintenant rapportés dans les journaux. Le fait que la photo provienne juste-ment de ce photographe ne fait que rendre le tout plus étonnant et confirme, s’il était besoin d’une preuve supplémentaire, l’authenticité absolue de la photographie.

Voici, fortement condensés, quelques-uns des articles de journaux relatant la réunion et qui avaient paru le lendemain :

 

(EXTRAIT DU « HOUSTON CHRONICLE » DU 25 JANVIER)

(CONDENSÉ)

 

« Ils gisaient sur des civières, sous les éblouissants projecteurs du Sam Houston Coliseum, mardi soir ; des paralysés, des malades, des infirmes, des personnes ayant perdu presque tout espoir de retrouver la santé physique. Ils restaient là, allongés. Ils attendaient, tandis que le débat théologique battait son plein autour d’eux. Un débat qui, pour certains, les dépassait.

Ce sont eux dont le pasteur F. F. Bosworth, un évangéliste de passage dans la ville, affirme qu’ils peuvent être guéris de leurs infirmités par la puissance divine de guérison transmise par le pasteur William Branham, un collaborateur du pasteur Bosworth. Mais le pasteur W. E. Best, responsable de l’église baptiste du Houston Tabernacle défend que toutes les « guérisons miraculeuses » de ce genre ont cessé après l’époque des Apôtres, et il met le pasteur Bosworth au défi de prouver le contraire.

M. Bosworth, soutenu par les exclamations d’encouragement et les « amen ! » d’un auditoire de plus de 8 000 personnes, cite de nombreux passages, tirés de plusieurs sources, qui prouvent, à son sens, que le Christ est mort non seulement pour les péchés des hommes, mais aussi pour les maladies physiques. À maintes reprises, il cite ce passage biblique : « Christ a pris nos infirmités, et Il s’est chargé de nos maladies. » À chaque fois qu’il répète ce passage, un grand cri d’approbation s’élève de la foule, et l’esquisse d’un sourire éclaire le visage de certains des occupants des civières.

Les auditeurs entendent le véhément sermon de M. Best, et ils n’apprécient pas tout ce que l’orateur dit. Ils n’apprécient pas qu’il dise : « Je défends qu’aucun homme vivant aujourd’hui ait le pouvoir et le don de guérir comme c’était le cas des apôtres. »

 

COURTOISIE

Le pasteur Raymond T. Richey exhorte les auditeurs à écouter chacun des deux orateurs avec courtoisie. « Quand vous êtes d’accord avec l’orateur, dites : " Amen ! ", et quand vous n’êtes pas d’accord, dites : " Non ! " », demande-t-il. Pendant près de quatre heures, les : « Amen ! », puis les « Non ! » feront vibrer l’auditorium. Quand le pasteur Best apporte un argument, le pasteur Bosworth se précipite vers le microphone disposé sur l’estrade où se tiennent les orateurs pour demander avec instance aux auditeurs qui ont déjà été guéris par la foi de se lever. Des centaines se lèvent.

Chaque fois, des centaines d’auditeurs se lèvent.

« Combien d’entre vous êtes baptistes ? s’écrie le pasteur Bosworth.

Plus d’une centaine de personnes se lèvent.

— Personne n’a le pouvoir de guérir ! » déclare le pasteur Best.

Pour Mme W. E. Wilbanks, qui demeure au 712, rue Teetshorn, le pasteur Best se trompe dans son jugement sur le petit évangéliste aux cheveux sombres qui a prêché à des foules de 5 000 personnes chaque soir.

 

 

ELLE-MÊME BAPTISTE

« Je suis baptiste moi-même, dit Mme Wilbanks. Frère Branham ne prétend pas avoir le pouvoir de guérison divine. Ce qui guérit les gens, c’est simplement la foi et l’Esprit de Dieu agissant à travers lui. En attaquant frère Branham, le pasteur Best n’est pas représentatif du sentiment des baptistes. »

Habituellement, les guérisons miracle sont produites de la manière suivante : des auditeurs inscrivent leur nom sur des cartes numérotées. Le pasteur Branham choisit un numéro et prie pour la guérison de la personne en question. Parfois, il choisit une personne au hasard. On informe les auditeurs que frère Branham n’arrivera peut-être pas jusqu’à prier individuellement pour eux ce soir-là, mais ils reviennent, soir après soir, dans l’espoir de voir venir leur tour.

 

 

NÉE DE NOUVEAU

Mme Mary Georgia Hardy, demeurant au 708, rue Columbia, dit qu’elle est « née de nouveau » depuis trois ans, mais qu’elle avait fait l’expérience des prodiges de la guérison par la foi il y a 18 ans déjà.

« Après la naissance de mon deuxième enfant, j’étais nerveusement à plat, mais j’ai été rétablie au moyen de la guérison par la foi, et depuis, j’ai eu deux autres enfants », dit Mme Hardy, qui va à l’Assemblée de Dieu à l’angle de la 18e Rue et de l’avenue Ashland, dans le quartier de Heights.

À côté d’elle est assise Mme Gray Walker, demeurant au 2501, rue Bloodgett, qui montre sa petite-fille de quatre ans, Diane Cox.

 

 

GUÉRIE

« Diane est née avec un pied bot. Un médecin voulait lui mettre un appareil orthopédique, mais notre pasteur, J. C. Miner, de l’Assemblée de Dieu, nous a suggéré d’essayer la prière, ce que nous avons fait. Et petit à petit, en quelques semaines, le pied de Diane est redevenu droit. Maintenant, elle va bien. »

Il y a une semaine, au cours d’une prière collective du pasteur Branham, Mme W. E. Miller, qui demeure chemin Genoa-Alameda, a subitement été guérie, dit-elle, d’une sinusite chronique. Elle ajoute : « J’étais simplement en train de prier pour d’autres personnes quand c’est arrivé. »

Quand le pasteur Best s’écrie : « Il y en a qui utilisent la sorcellerie pour envoûter les gens : ceux-ci sont sincèrement induits en erreur et pensent qu’il s’agit de la puissance de Dieu », James Ayers, un photographe professionnel, qui habite au 1610, avenue Rusk, acquiesce :

« Branham joue la comédie, dit-il, il s’arrange pour ne jamais parvenir jusqu’aux infirmes et aux personnes qui souffrent d’arthrite. Il hypnotise son auditoire, c’est tout. »

N. B. : M. Ayers, dont il est question ci-dessus dans l’article du Houston Press, est le photographe qui découvrira, quelques heures plus tard, la lumière surnaturelle au-dessus de la tête du pasteur Branham, sur la photographie.)

Après avoir consulté frère Branham, Gordon Lindsay fait remettre le négatif à M. George Lacy, qui est reconnu comme le meilleur expert en documents contestés de la région. M. Lacy pratique alors des analyses scientifiques poussées sur le négatif. Le pasteur Branham est certain que le négatif est authentique, mais trouve sage de se procurer les preuves scientifiques absolues de son authenticité.

Après examen minutieux et complet, M. Lacy rédige une attestation certifiée (reproduite dans le présent livre), que tous les tests ont montré que le négatif est absolument authentique, et qu’il n’a pas été « trafiqué » ou retouché d’une quelconque façon, pas plus qu’il n’a subi une double exposition. [Cliquer ici pour voir le texte intégral de l'attestation de M. Lacy]

Dieu a permis que la Colonne de Feu soit photographiée avec son prophète au Sam Houston Coliseum, dans la ville de Houston (Texas), le 4 janvier 1950. Le seul Être surnaturel jamais photographié dont l'authenticité soit attestée, apparaît au-dessus de la tête de frère Branham. Le même Être était apparu en 1933 devant des centaines de personnes, et lui avait dit :

 

« Comme Jean-Baptiste a été le précurseur de la première venue de Christ, tu seras le précurseur de sa seconde venue. »

Les frères qui voyageaient avec frère Branham ont dit de cet homme de Dieu du vingtième siècle :

La Bible, parlant de Jean-Baptiste, dit ceci : « Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. » Nous croyons que cette affirmation s'applique aussi à notre bien-aimé frère William Branham.

 

À Dieu soit la gloire

Le détail de cet événement est exposé par frère Branham lui-même sur l'enregistrement du message « Nous voudrions voir Jésus », prêché à Columbus (Ohio) le 14 mars 1954.

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