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Un Frère appelé à déménager au Québec.

En 1988, un Frère travaillait dans une usine de ressort à Chatham près de Windsor, Ontario au Canada. Son travail fut interrompu à la suite d’un accident de moto qui le rendit totalement invalide. La septième vertèbre du cou et la jambe gauche fut cassée ainsi que la main gauche et le bras droit à quatre endroits.

À l’époque, le Frère n’avait pas encore donné sa vie à Dieu. Un jour, un peu avant l’accident, même si tout en Lui était très rebelle à la Parole, il Le pria de lui accorder un congé bien mériter puisse que déjà 18 ans de travail routinier au même endroit et souvent sept jours par semaine. Il avait besoin de repos.

Vous connaissez sans doute l’histoire du berger qui cassa la patte de sa petite brebis qui ne faisait que fuir. Cela obligea cette dernière à rester près de son maître. Cette brebis, c’est ce Frère et je le cite : « Dieu m’appelait à le suivre mais je me détournais sans cesse de Sa Voix jusqu’à ce qu’Il me clou dans un lit d’hôpital. Je commencé à prier et une année passa. Le médecin m’a fait passer quelques radiographies à la jambe gauche pour constater que cette dernière était comme si elle n’avait jamais eu de cassure. Sans contredit, Il est un Dieu qui guérit. »

« Je demandai alors à Dieu, est-ce Ta Volonté Seigneur que j’aille dans une petite Église au Nord du Québec, petite Église que mon neveu, lui-même un croyant du Message, nous avait tellement parlé. Je dis à Dieu : « Comme signe, fais-moi vendre ma maison rapidement et à mon prix ». Croyez-moi ou non, ma maison fut vendue en deux heures et à mon prix. Que dire de cela ? Pour moi, c’était réglé. Dieu est toujours Dieu et Il répond aux prières.

Un peu plus tard, ma maman m’a demandé de l’accompagner dans un voyage de plaisance et tellement de choses surnaturelles se sont produites que finalement, après avoir vécu tant de bénédictions, je Lui ai donné ma vie. C’était en 1991. Gloire à Dieu, Il a été si patient avec moi. »

Ce Frère est l’un des Frères les plus gentils que nous connaissons, toujours prêt à rendre service. Toujours un sourire à donner. Comment ne pas aimer un frère tel que lui ! Nous ne le connaissions pas auparavant mais aujourd’hui ce que nous savons, c’est que sa nature est aussi douce que celle d'une brebis.

Puisse notre Seigneur bénir abondamment notre précieux Frère tous les jours de sa vie.

Frère Jean-Guy Gagné

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