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Témoignages

Voici mon témoignage qui, je l’espère, bénira mes Frère et mes Sœurs de ce beau Message. Le Seigneur est merveilleux. J’ai donné ma vie au Seigneur en mars 1987 et c’est Frère Fergusson du Québec qui nous a baptisés, ma femme et moi.

Dans l’été 1995, alors que je conduisais un camion lourd, mes mains se sont mises à trembler et j’ai commencé à avoir des crampes douloureuses dans les avant-bras. J’ai consulté plusieurs médecins qui sont tous arrivés au même diagnostic, la sclérose amyotrophique latérale, (maladie incurable dégénérative des muscles). Ils m’ont dit de prendre ma retraite et de profiter de la vie car il ne me restait plus beaucoup de temps à vivre. Ils ont dit que je commencerais à marcher avec une canne puis, par la suite, la chaise roulante et que mon corps s’atrophierait graduellement m’empêchant de marcher et d’accomplir certaines tâches. Ils m’ont dit aussi de me joindre à un petit groupe de personnes qui avaient cette même maladie rare et eux m’aideront à l’accepter et à vivre mes dernières années avec cette maladie. Quelques mois après, je marchais avec une canne.

Je savais que la Parole disait le contraire, de ne pas accepter les maladies mais de les refuser. Je savais par expérience que la guérison divine existait car Frère Fergusson avait déjà prié pour moi dans le passé pour une fracture lombaire suite à un accident d’automobile. Je recevais à l’époque des infiltrations abdominales de cortisone pour calmer la douleur. Après qu’il est prié pour moi, les douleurs avaient immédiatement et complètement disparu et je ne recevais plus d’infiltration. C’ÉTAIT RÉGLÉ, AMEN.

Donc, après avoir reçu cette terrible nouvelle de ce diagnostic de sclérose, je ne pouvais plus travailler, alors, j’ai fait la demande de mes rentes d’invalidité pour continuer à vivre. J’avais deux petites filles en bas âge à la maison.

Un jour, mes amis de Drummondville au Québec, nous ont proposé à ma femme et moi, d’aller en voyage avec eux à Jeffersonville pour visiter les Enregistrements de la Voix de Dieu (VGR). Bien attendu, nous avons accepté expressément espérant voir le prophète, Frère Joseph. (Sans me le dire, c’était aussi le but de mes compagnons de voyage, que je rencontre ce prophète.)

Donc, nous sommes partis en avril 1996 pour Jeffersonville et lorsque nous sommes arrivés aux Enregistrements de la Voix de Dieu, mon ami avait une enveloppe à remettre à Frère Joseph et comme ce n’est pas toujours facile de le rencontrer car c’est un homme très occupé, il a laissé cette enveloppe au secrétariat et nous sommes ressortis, mais je regardais constamment derrière moi espérant le voir passer près d’une fenêtre.

Soudain, sortant par la porte de coté, voici Frère Billy-Paul. Je savais qu’il avait reçu de Dieu un don, celui de la guérison, pas qu’il guérissait bien-entendu car seul Christ peut guérir, mais qu’il a une grande foi. Je suis allé dans sa direction en criant son nom. Je lui ai expliqué que j’avais contracté une maladie incurable et que j’aimerais qu’il prie pour moi. Ce qu’il s’est empressé de faire. Il a placé une de ses mains sur mon épaule et l’autre derrière mon cou et il a commencé à prier. Je ne comprenais pas très bien ce qu’il disait car j’étais très nerveux et à l’époque, je n’étais pas très bon en anglais. Pendant qu’il priait, j’ai senti une chaleur dans mon cou et qui se répandait dans tout mon corps et je savais qu’il venait de se passer quelque chose. Après avoir prié, il me donna la main en me disant : « Que Dieu vous bénisse » et je l’ai regardé s’éloigner.

J’ai rejoint les autres qui ont regardé la scène de loin en se réjouissant pour moi. Nous nous apprêtions à partir lorsque Frère Fergusson est sorti par la même porte d’où Frère Billy-Paul venait de sortir et il nous a fait signe de la main de le rejoindre, il avait un cadeau pour nous. Une nouvelle brochure intitulée : « LES SOIXANTES-DIX SEMAINES DE DANIEL » et, tout frais sorti des presses. Nous étions vraiment bénis mais la suite l’est encore plus.

Comme nous étions dehors près de la porte de côté à discuter avec Frère Fergusson, je regardais constamment vers cette porte espérant voir cet homme de Dieu, ce prophète et gardien de ce beau Message. J’étais très nerveux et j’avais les yeux remplis de larmes que j’en voyais tout embrouillé.

Soudain, je le vis passer rapidement à l’intérieur. Pour moi, il me semblait avoir aperçu un géant. Les larmes me coulaient à flot sur les joues, j’étais tellement nerveux et anxieux, j’ai presque crié : « Frère Fergusson, c’est lui, c’est lui, il est là ». Frère Fergusson savait que je parlais de Frère Joseph et me pris par le cou en me disant de me calmer et d’être patient. Ces courts moments resteront toujours gravés dans ma mémoire.

Voilà qu’il apparait sur le cadre de la porte. Il s’est avancé vers nous pour nous serrer la main et lorsque qu’il est arrivé à moi, je lui pris la main à deux mains et la garder bien solide dans les miennes. Incapable de lui parler en anglais, j’ai demandé à Frère Fergusson de traduire. J’ai dit : « Même si votre Frère Billy-Paul a prié pour moi, voulez-vous aussi prier pour moi? » Savez-vous ce qu’il m’a dit? Il a dit : « Dieu connait ton cœur, tu as déjà reçu ta guérison ».

C’ÉTAIT RÉGLÉ, AMEN.

 

Pas nécessaire de vous dire que je pleurais (de joie) encore davantage en disant en anglais : « Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse.» Je crois que tout le monde avait les yeux remplis de larmes et en particulier mon épouse qui ne pouvait plus se contenir. Frère Joseph a signé nos brochures, une autre bénédiction. Amen.

J’ai toujours des séquelles que cette maladie m’a laissée car j’ai reçu une guérison mais le miracle est pour très bientôt. Je ne sais pas quand mais je l’aurai. C’est une promesse de Lui. Je sais que je retrouverai mon corps parfaitement normal et je le témoignerai. Je remercie tous mes Frères et Sœurs et mes amis de mon entourage qui m’ont beaucoup aidé et encouragé par la grâce de Dieu. Merci à mon ami pour ce beau voyage qui m’a rendu la santé.

Je suis retourné chez moi et j’ai continué à être rentier encore quelques années jusqu’au jour où j’ai réalisé que je dois retourner sur le marché du travail puisque j’étais guéri. Je ne pouvais pas rester à la solde du contribuable même si les médecins ne croient pas du tout à ma guérison. J’ai donc laissé tombé mon chèque de rente et me suis trouvé un emploi. Je conduis maintenant un autocar de ligne, un métier que j’ai toujours désiré faire.

Gloire soit rendue à Dieu, Il est si merveilleux.

Que Dieu vous bénisse.

Frère Claude

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